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22 juillet 2013 1 22 /07 /juillet /2013 21:09

Facebook, Tweeter, LinkedIn, MySpace sont des plateformes connues et reconnues par l'ensemble de la population comme interface de réseaux sociaux.

 

Véritable outil de communication et de perception personnelle de soi par autrui, les réseaux sociaux sont devenus depuis 2004 (création de Facebook) le mode de vie si l'on peut dire préféré de millions d'individus. Il n'empêche que certains drames se jouent sur la Toile et l'on peut s'interroger sérieusement sur la question de l'amitié virtuelle ou des relations/followers sur nos comptes de réseaux sociaux.

 

Alexis HK et Renan Luce en ont fait une interprétation comique de via la chanson Thans for the add ("Merci pour l'ajout" in french) montrant parfois la dérive où seul face à son ordinateur nous avons parfois l'impression d'être connecté à tous et à tout. Il ne sert à rien d'avoir 5000 amis sur Facebook par exemple si vous n'en parler qu'à à peine  opu si vous ne pouvez même pas compter sur eux quand il faut...

 

 


 
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3 juin 2013 1 03 /06 /juin /2013 21:09

Le débat a été virulent ces derniers mois dans notre pays concernant l'adoption du "Mariage pour tous". La France est devenue le 26 avril 2013 le 14ème pays au monde à légaliser le mariage homosexuel. Reste la question de l'adoption pour les couples homosexuels. Question épineuse qui relance la question de la PMA (Procréation Médicalement Assistée - article à venir) et de la GPA (Gestation Pour Autrui).

 

 

gai

 

Nous ne pouvons néanmoins que nous féliciter, hors divergences politico-religieuses, de l'évolution de la société française face aux moeurs. Adopter la loi sur le "Mariage pour tous" c'est avancer dans le processus démocratique, garantissant à chacun les mêmes droits civiques. Il était impensable qu'une telle loi, dans le pays des "Droits de l'Homme" ne puisse être adoptée.

 

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3 juin 2013 1 03 /06 /juin /2013 19:19

J'avoue être frappé en ce moment par certaine choses qui font que le comportement de certaines personnes autour de moi me gêne. Et quand je dis gêner,, ce n'est pas dans un sens péjoratif.

 

Nous avons tous des choix à faire, des remises en questions qui elles seules nous permettent d'avancer sur ce que l'on nomme "le chemin de la vie"

 

La vie n'est pas un long fleuve tranquille, certains d'entre vous en lisant ceci penseront "mais quelle banalité" mais il y a des fois remettre en cause les banalités est quelque chose qu'il faut savoir faire. Non la vie n'est pas tranquille, la vie n'est pas rose et il faut savoir se poser les questions, les bonnes et au bon moment... et surtout faire les bons choix.

 

Et c'est une question non pas de mentalités mais de maturité...

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1 juin 2013 6 01 /06 /juin /2013 21:56

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Dernièrement, je me  suis lancé dans une petite réflexion personnelle suite à mes divers travaux réalisés au sein de l'université. C'est par ailleurs un monde que j'ai quitté il y a un an et je ne regrette pas! L'énergie que l'on vous demande dans un Master Recherche est telle qu'il faut savoir gérer la pression.

 

Et pourtant, cela ne m'a pas  empêcher d'en faire deux ans de suite. Peut être parce que la première année, le fait de vouloir travailler sur la Norvège et son histoire m'ont donné le stimuli nécessaire à la réalisation de ces travaux. Imaginez vous en train d'écrire un travail de recherche s'intitulant :

 

"Résistance franco-norvégienne : parallélismes et divergences d'un courant (1940-1942)"

 

Belle prouesse que déjà avoir fait un titre à rallonge qui ne dis rien et qui dis tout à la fois. Oui, l'art du mémoire, c'est de vous faire dire des choses que même votre inconscient ne saurait interpréter. Avec un peu de recul, on remarque que ce travail n'est souvent pas réalisé par nous ni pour nous. Intrinsèquement nous voulons donner le meilleur de nous même pour nous faire voir de nos pairs universitaire, à commencer par votre directeur de recherche.

 

On passe pas mal de temps à éplucher les archives, à apprendre des langues et des coutumes pour mieux décrypter les signes d'une communauté, d'un pays qui nous échappe. On se met à rêver de publier une thèse plus tard, en allant pendant trois ans à l'université d'Oslo pour y faire d'éventuelles recherche sur la place de la famille royale au sein du processus d'Occupation norvégien... On rêve... et on se prend un mur. Peut être parce qu'à l'origine, nous nous sommes mis une telle pression qu'elle en est devenue intenable.

 

Avec le recul, et une seconde année de Master dans les talons, j'ai pu faire une petite auto-critique de ce travail, certes enrichissant mais épuisant. Épuisant physiquement mais surtout intellectuellement car il prend une telle place dans votre vie que vous ne vivez que pour cela. Au point de vous couper du monde. Et puis en y réfléchisant bien, ce mémoire on l'écrit non pas pour nous mais pour les autres. Je parlais de reconnaissance de ses pairs ; cela vous a peut être surpris mais j'ai parfois l'impression qu'une exigence plane sur l'étudiant en Master Recherche, que quelqu'un est là et qui lui dis "attention, ne fais pas comme ci, ne fais pas comme ça, tu vas droit à la catastrophe", ou bien encore "ton travail n'est pas assez structuré" alors que vous venez pour la 5ème fois présenter un plan détaillé de trois pages suite à la lecture de 65 bouquins (dont un tiers en anglais) et que pour la plupart il vous a fallu emprunter ailleurs que dans votre université. Au final, c'est bien un rêve de consécration que l'on poursuit en s'obstinant à finir un mémoire de recherche. Et c'est peut être aussi pour cela que nous avons de moins en moins d'étudiants qui s'y pressent. Moins de 10 en Master Histoire Contemporaine (1789 à nos jours) pour un campus universitaire qui compte 27000 étudiants !

 

Peut être, pure hypothèse personnelle, vaut-il mieux écrire son mémoire comme on à envie de le faire, non pas pour plaire aux autres mais parce que l'on a envie d'écrire ceci et pas cela! Après tout, la soutenance est faite pour vous permettre de vous exprimer sur vos choix de sujets.

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2 avril 2011 6 02 /04 /avril /2011 09:25

C'est en Irlande au 9ème siècle, dans l'abbaye fortifiée de Kells, que vit Brendan, un jeune moine de douze ans. Avec les autres frères, Brendan aide à la construction d'une enceinte pour protéger l'abbaye des assauts réguliers des vikings.


Sa rencontre avec
Brendan.jpgFrère Aidan, célèbre maître enlumineur et "gardien" d'un Livre d'enluminures fabuleux mais inachevé, va l'entraîner dans de fantastiques aventures. Aidan va initier Brendan à l'art de l'enluminure pour lequel le jeune garçon révélera un talent prodigieux.


Pour finir le livre et défiant ses propres peurs, Brendan sortira de l'abbaye pour la première fois et entrera dans la forêt enchantée où de dangereuses créatures mythiques se cachent et l'attendent. C'est là qu'il va rencontrer Aisling, la jeune enfant loup qui l'aidera tout au long de son chemin.


Brendan va-t-il réussir sa mission malgré les hordes de vikings qui se rapprochent ? Pourra t-il prouver que l'art est la meilleure fortification contre les barbares ?

 

 

Brendan et le secret de Kells est un des films d'animation les plus abouti pour un public varié, les plus jeunes dès 5 ans pourront le regarder sans avoir trop peur des "méchants" Vikings, incarnés pour l'occasion uniquement par des ombres dont on ne voit pas le visage mais dont on imagine le visage terrifiant.

 

Réal. : Tomm Moore

Date : 2008.

Durée : 1h15.


 

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25 mars 2011 5 25 /03 /mars /2011 08:25

J'aimerais vous parler aujourd'hui d'un phénomène que certains ont peut etre du affronter, eux memes ou vis a vis de quelqu'un qu'ils connaissaient. Il s'agit de la période qui suit une TS.  Une TS (qui n'est pas la terminale scientifique) et une tentative de suicide. Les raisons sont multiples qui poussent quelqu'un voir un groupe à vouloir se donner la mort. Déceptin sentimentale, perte d'emploi, précarisation du statut, perte de repères. On parle souvent de lâcheté envers ceux qui franchissent le pas ou qui du moins le tente. Je n'en crois rien ; il faut un grand courage quand meme pour oser sd'enlever la vie, même après des épreuves terribles, il y a peut etre tujours moyen de se reconstruire, de repartir sur des bases solides mais parfois la nostalgie, la mélancolie et les mauvaises pensées peuvent prendre le dessus.

 

Comment se reconstruire après une tentative de suicide ? Parfois cela ouvre les yeux à ceux qui vous entourent car en général rien ne laisse présager de ce qui va se passer bien que parfois ce soit réfléchi a l'avance. On a parfois souvent de parler, il n'y a pas forteddy-die.jpgcément une oreille attentive ou alors on ose pas et la pirale s'enclenche. La phase qui suit peut etre douloureuse et les rechutes peuvent etre fréquentes si on n'entame pas une discussion approfondie sur soi. Je parle par expérience. On est aussi souvent tenter de dire qu'on ne manquera a personne, ce qui bien sur révulse l'ensemble des personnes que vous connaissez. Pourtant, un jour j'ai été confronté à ce cas, un ami mort par suicide... peu de monde pour l'enterrement pourtant des "amis" il en avait plein. C'est ce qui me fait penser que finalement on est strictement rien aux yeux des autres la plupart du temps, on pense les gens honnêtes et sincères mais finalement beaucoup s'en foutent. Si vous reparter comme ça alors la rechute est quasi inévitable... Même après des années.

 

 

Je passe encore un peu de temps juste avant que ce ne soit le temps qui me rappelle.

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